La réduction de la fréquence des opérations de taille (haies, arbustes et arbres) permet de ne pas perturber l’installation naturelle des espèces.
Outre une baisse des émissions de gaz à effet de serre et une réduction des dépenses de carburant, ce mode de gestion participe à une meilleure maîtrise des frais d’entretien.
A noter que le bois issu de la taille, qui n’est alors plus exporté en déchèterie (mode « zéro déchet »), est réemployé, une fois broyé et étalé sur le site, comme paillage au pied des massifs.
Les jardiniers laissent par ailleurs les branchages et le bois mort sur le sol ou maintiennent sur place des arbres morts pour favoriser la biodiversité (abri pour la faune et les champignons).
Des dispositifs susceptibles de susciter la curiosité des petits et des grands (découverte de l’écosystème, sensibilisation aux enjeux environnementaux).